«Depuis mon entrée en fonction, j’ai surtout travaillé sur de gros dossiers liés aux conséquences de la fusion des quatre anciennes communes, puisque mon dicastère comprend notamment les finances, les ressources humaines et la sécurité. Mais je me réjouis également de me pencher plus en profondeur sur les autres domaines, soit l’agglomération et le développement technologique. Et là, nous allons pouvoir faire de Neuchâtel une smart city, et du Littoral une smart région.»
Didier Boillat n’est en poste que depuis six mois au Conseil communal de Neuchâtel, mais il fourmille déjà d’idées. Et pourtant, il a déjà été très occupé par le bouclement des comptes des quatre anciennes communes, par le budget de la nouvelle et par l’harmonisation des conditions de travail des 1300 collaborateurs.
«Ces six premiers mois ont été à la fois intenses...