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Victimes de l’amiante, une aide plutôt qu’un procès

Le Fonds d’indemnisation est opérationnel depuis ce mois.

14 juil. 2017, 01:37
ARCHIV -- Ein Arbeiter im Schutzanzug zerkleinert Teile von Asbestverkleidungen, aufgenommen am Dienstag, 25. Februar 2003, im Werd Hochhaus in Zuerich. Die Eternit (Schweiz) AG hat eine Stiftung zur Entschaedigung von Asbest-Opfern gegruendet, wie Eternit am Dienstag, 3. Oktober 2006, mitteilte. Die Stiftung verfuegt ueber ein Kapital von 1,25 Millionen Franken und soll fuer Menschen und Angehoerige verwendet werden, die in oder in der der Umgebung der Eternit-Werke an einer asbestverursachten Berufskrankheit leiden. (KEYSTONE/Eddy Risch) SCHWEIZ ETERNIT ASBEST STIFTUNG

On n’a pas fini de parler de l’amiante. Plus de vingt-cinq ans après son interdiction, il fait toujours des ravages car de nombreux bâtiments construits avant les années 1990 en sont encore infectés. Selon l’Office fédéral de la santé publique, quelque 120 personnes sont atteintes chaque année d’une tumeur maligne de la plèvre ou du péritoine (mésothéliome) parce qu’elles ont inhalé des fibres d’amiante.

Une fois la maladie déclarée, la mort intervient généralement en l’espace de quelques mois. A défaut de traitement efficace, les victimes et leurs familles peuvent espérer un soulagement financier. Le Fonds d’indemnisation pour les victimes de l’amiante, alimenté par les entreprises sur une base privée, est opérationnel depuis le 3 juillet.

Créé à la suite d’une table ronde qui a réuni syndicats, entreprises et assurances sous la houlette de l’ex-conseiller fédéral Moritz Leuenberger, ce fonds a pour objectif d’apporter une aide rapide et non bureaucratique complétant...

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