Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Prix des traitements ambulatoires: le Tardoc est menacé de surplace

Le Conseil fédéral pourrait bien temporiser sur le nouveau tarif de la médecine ambulatoire, le Tardoc, dont le projet est de remplacer le Tarmed, en vigueur depuis 2004.

29 juin 2021, 00:01 / Màj. le 29 juin 2021 à 08:21
Patienten mit Long-Covid-Symptomen werden am Mittwoch, 19. Mai 2021 in den Raeumen der Klinik Moncucco in Lugano durch den zustaendigen Arzt Pietro Antonini behandelt. In der multidisziplinaeren Ambulanz fuer Long-Covid-Patienten arbeiten Fachaerzte und medizinisch technisches Personal bei der Behandlung der aeusserst vielfaeltigen Symptome zusammen. Nach der akuten Phase leiden einige Covid-19-Betroffene noch monatelang an Atem-, Herz-, Haut-, psychischen, neuromuskulaeren, neurologischen, Nieren- und Stoffwechselproblemen..(KEYSTONE/Ti-Press/Alessandro Crinari)

Son nom technocratique ne doit pas faire oublier une réalité: le tarif Tarmed détient un rôle de premier plan dans le système de santé. Logique, puisqu’il détermine le prix des traitements médicaux ambulatoires. Vous y avez sûrement déjà eu affaire, après une visite chez votre médecin ou un séjour à l’hôpital de moins d’une journée. Le domaine ambulatoire pèse lourd: quelque 12 milliards de francs par année, ou un tiers environ des frais de l’assurance-maladie de base.

Le Tarmed date, et un consensus règne sur la nécessité de le remettre au goût du jour. Le Conseil fédéral doit se pencher ce mercredi sur un projet de nouveau tarif, le «Tardoc». Mais rien ne dit qu’il l’avalise. Il pourrait bien reporter sa décision, pressentent des connaisseurs du dossier. Si c’était le cas, l’entrée en vigueur se verrait repoussée au-delà de 2022.

Manque du monde à bord

Le Tardoc prévoit, en...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias