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«Les dégâts ont été limités, mais…»

Le Conseil des Etats renforce la protection des données de Madame et Monsieur Tout-le-monde. Est-ce suffisant? Réponses avec Sylvain Métille, avocat spécialisé dans le domaine.

19 déc. 2019, 00:01
Visitors take photos of Pope Francis as he speaks from the central balcony of St. Peter's Basilica at the Vatican, Wednesday, March 13, 2013. Cardinal Jorge Bergoglio, who chose the name of Francis is the 266th pontiff of the Roman Catholic Church. (AP Photo/Michael Sohn) VATIKAN PAPST WAHL FRANZISKUS

La loi sur la protection des données, étalée sur des dizaines de pages, est un vrai «mammouth». Elle est compliquée, technico-juridique. Mais ses implications sont très concrètes pour tout un chacun. Nos données personnelles naviguent en effet régulièrement dans les cieux numériques et les systèmes informatiques des entreprises et des autorités. En sus de la protection des individus, le texte touche à un enjeu capital pour l’économie: obtenir l’équivalence dans la protection des données avec l’Union européenne. Le Conseil des Etats s’est penché hier sur la révision de cette loi, approuvée 29 voix à 4. Entretien avec Sylvain Métille, avocat spécialiste de la protection des données et professeur à l’Université de Lausanne.

Le Conseil des Etats a durci le ton par rapport au Conseil national. Une bonne chose à votre avis?

Le Conseil des Etats a limité les dégâts créés par le Conseil national. Le projet initial du Conseil...

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