«La fée de Montréal», alias Nadia Comaneci, est de retour en tant qu’ambassadrice sur les lieux de ses plus grands exploits – aux Jeux olympiques de 1976 – à l’occasion des Mondiaux organisés cette semaine dans la métropole du Québec. L’occasion de se rappeler à quel point celle qui n’était alors qu’une frêle gymnaste de 14 ans a marqué son sport.
Montréal fait aujourd’hui partie du «triangle de vie» de Nadia Comaneci, comme elle le définit elle-même, triangle dont les deux autres pointes sont la Roumanie et la gymnastique. Et pour cause: c’est dans cette ville qu’elle était devenue, il y a 41 ans, la première gymnaste à obtenir la note parfaite de 10 aux Jeux olympiques, à l’issue d’un exercice aux barres asymétriques resté gravé dans les mémoires.
C’est aussi à Montréal qu’elle s’était d’abord posée, avant de se rendre aux Etats-Unis, lors de sa fuite mouvementée de Roumanie...