La pandémie est compliquée à gérer pour tout le monde. Physiquement et psychologiquement, ce n’est pas évident. Dans cette atmosphère pesante, je tiens à tirer mon chapeau aux clubs pour leur investissement. Ce qu’ils réalisent pour les enfants est assez extraordinaire. Cela m’a sauté aux yeux hier lorsque je suis allé amener mon petit-fils Evan, 6 ans, à son entraînement de hockey. Comme à chaque fois, il y avait Gaby, Miko, Emil, Alex, Stéphane et Ilya pour accueillir tous ces enfants. Tous portaient le masque, dans les locaux qui avaient été désinfectés, chacun respectait les mesures sanitaires. C’est compliqué, mais ils font tout pour permettre aux enfants de continuer à s’entraîner. Quand je vois Evan tout fou rejoindre ses copains avec un grand sourire, je me dis qu’il a de la chance. En revoyant cette scène, j’ai les larmes qui montent.
C’est un bonheur simple, mais un bonheur vital pour...