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Un retour sans tambour ni trompette

Lauriane Gilliéron, Miss Suisse en titre, est rentrée hier en Suisse. Dimanche soir, la Vaudoise avait obtenu le troisième rang au concours de Miss Univers, à Los Angeles, le meilleur classement de tous les temps pour une Suissesse.

27 juil. 2006, 12:00

Lauriane Gilliéron a atterri vers 8h30 à Genève-Cointrin, en compagnie de ses parents et de ses 80 à 90 kilos de bagages. A l'aéroport, l'Office du tourisme vaudois, dont Miss Suisse est l'ambassadrice, avait organisé un petit accueil.

Un groupe de douaniers s'est fait dédicacer un poster. Peu de public, en revanche, avait fait le déplacement.

Beauté fatiguée

Lauriane Gilliéron est arrivée souriante mais harassée, après un vol Los Angeles-Genève, via New York. Une surprise l'attendait dans l'avion: «Nous avions réservé en classe économique. Mais lorsque nous sommes montés dans l'avion, on nous avait préparé un fauteuil en classe business», raconte Alain Gilliéron, le père de Lauriane.

La deuxième dauphine de Miss Univers a fêté mardi en vol son 22e anniversaire. «On ne peut pas dire qu'on a fêté, commente Alain Gilliéron. On était trop fatigués. On le fera prochainement en famille». Hier soir, la jeune femme devait déjà repartir en hélicoptère pour Saint-Moritz (GR), où elle tournera un clip.

Pour l'heure, aucune réception officielle n'est prévue à Prilly, commune dont le père de Lauriane est le syndic. «On verra plus tard, mais on avait déjà fait quelque chose pour son élection de Miss Suisse», rappelle Alain Gilliéron.

Donald Trump charmé

Dimanche soir, la Vaudoise a terminé troisième du concours Miss Univers organisé par Donald Trump et par la chaîne de télévision américaine NBC. Après la compétition, le magnat de l'immobilier a invité la Suissesse à sa table et lui a soufflé qu'il aurait souhaité la voir gagner.

Une femme de challenges

Couronnée Miss Suisse en septembre 2005 à Locarno, Lauriane Gilliéron arrive au terme de son année de sacre. Elle n'appréhende pas cette échéance, affirme son père. «Lauriane a besoin de challenges. Elle continuera à travailler avec l'Office du tourisme vaudois et on verra quelles autres opportunités se présenteront». / ats

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