«Lorsqu'on est en plein océan, il est très important d'avoir l'heure juste. Afin de ne pas rater les bulletins météo, mais aussi parfois pour faire le point. En cas de panne électrique, il ne reste plus que la navigation astrologique, au sextant et au chronomètre», relève le navigateur qui vient à peine de qualifier son monocoque à la prochaine transat Jacques Vabre en novembre prochain.
En parcourant les ateliers, Bernard Stamm se plaisait à tirer des parallèles entre horlogerie et navigation de performance: «Tout comme ces montres, nos bateaux sont des machines qui nécessitent rigueur et précision. Pour fabriquer un bateau, il y a quantité d'opérations qui se font dans l'ombre mais qui sont essentielles, un peu comme dans le travail de l'horloger.» / pdl