«Hé, Luiz! Elle est moche ta veste. Il y a écrit ‘NUC’dessus», lance l’une des juniors de Val-de-Travers en apercevant son entraîneur. Au fond du couloir du Centre sportif de Couvet, ce dernier lui rétorque en rigolant «Je n’y peux rien, je n’ai pas encore reçu la nouvelle.» Pas verni du tout, Luiz Souza. Forcément, il a fallu que cette amusante scène se déroule en présence du journaliste venu l’interviewer.
Les affaires reprennent bel et bien, ce week-end en ligue nationale B de volleyball. Et ce tant pour les hommes que pour les dames. Dans la région, le nouveau chapitre qui s’ouvre marque ainsi de piquantes rocades au poste d’entraîneurs. L’occasion de constater, s’il en était encore besoin, que le monde de la balle jaune et bleu tourne en comité restreint en terres neuchâteloises. Presque au point d’en devenir une histoire de famille.
Le grand chelem
Cela fait maintenant six...