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Les betteraves sucrières ont la cote au Val-de-Ruz

Alors que pendant quarante ans, les betteraves sucrières avaient disparu au Val-de-Ruz, la politique agricole encourage aujourd'hui les paysans à produire cette culture. Visite chez Johnny Ruchti, premier Vaudruzien à s'être lancé il y a trois ans "dans le sucre".

28 mai 2018, 17:35
Début mai, une vingtaine d’agriculteurs s’étaient donné rendez-vous chez Johnny Ruchti (2e depuis la gauche) à Cernier. Il y a trois ans, il a été le premier Vaudruzien à se lancer dans la culture de betteraves sucrières.

Après quarante ans durant lesquels les betteraves sucrières avaient disparu des champs vaudruziens, le sucre est à nouveau au goût du jour. Au Val-de-Ruz, Johnny Ruchti, avec un collègue, a été le premier, il y a trois ans, à en cultiver à 800 mètres d’altitude, à Cernier. En 2018, quatre Vaudruziens se sont également laissés convaincre. Preuve que cette culture a la cote.

Le mardi 8 mai, une vingtaine d’agriculteurs de la région s’étaient donné rendez-vous chez Johnny Ruchti pour visiter son champ. L’occasion pour eux d’échanger et demander conseil au responsable romand du centre betteravier suisse, également de la partie.

Le Val-de-Ruz est une région très favorable à la culture de la betterave sucrière. Photos David Marchon

«J’aime relever des défis»

«J’aime relever des défis», confie Johnny Ruchti. Il y a trois ans, le Vaudruzien cherchait à produire une sixième culture, comme le préconise la politique agricole. Alors après...

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