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Une anthropologue de l’Université de Neuchâtel récompensée pour sa thèse

Une anthropologue de l’Université de Neuchâtel a vu son travail de doctorat récompensé du Prix de thèse du musée du quai Branly – Jacques Chirac 2019.

22 nov. 2019, 15:40
Désormais docteure en anthropologie, Leïla Baracchini a reçu début novembre, à Paris, le Prix de thèse du musée du quai Branly - Jacques Chirac 2019.

«Quand l’art vient à D’kar: émergence et production d’un art san contemporain». C’est le titre du travail académique de Leïla Baracchini, récompensée du Prix de thèse du musée du quai Branly – Jacques Chirac le 4 novembre dernier.

Dans cette publication, réalisée entre l’Institut d’ethnologie de l’Université de Neuchâtel et l’Ecole des hautes études en sciences sociales de Paris, l’anthropologue a retracé la naissance de l’art san dans un village du Botswana, dans le désert du Kalahari. Le travail a été choisi parmi ceux de 32 candidats. En tout, deux thèses ont été récompensées pour un montant total de 8000 euros.

Au Musée d’ethno

Dans le cadre de ses recherches, celle qui porte désormais le titre de docteure a constitué une collection pour le Musée d’ethnologie de Neuchâtel. Une partie des œuvres est présentée dans l’exposition actuelle «L’impermanence des choses».

Ses travaux ont déjà fait l’objet d’une exposition au Jardin botanique de Neuchâtel en mars dernier, «Kuru, l’art d’un monde en mutation».

A lire aussi: L’art du désert africain du Kalahari s’invite au Jardin botanique de Neuchâtel

 

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