Philippe Gnaegi: "Il ne faut pas se voiler la face, c'est un échec." "Je suis homme qui a subi un revers par rapport à cette expérience. Je n'ai aucun problème à le dire. Mais je dois rebondir. Je ne veux pas être le Calimero qui pleure". Ou encore: "Je suis très famille. Elle m'a beaucoup soutenu et me ramenait sur terre, quand au Château, je prenais trop de hauteur".
Dans une grande interview, l'ancien président du conseil d'Etat raconte les mois qui ont suivi "la claque" de sa non-réélection. Une baffe que le politicien PLR n'avait pas vu venir. Aujourd'hui, il travaille à 30% pour la Confédération et au mandat. Et demain mardi, comme le veut la tradition, il vernit son portrait d'homme poltique, signé Ivan Moscatelli, dans la salle des chevaliers du Château de Neuchâtel.
Interview à découvrir dans l'édition de mardi de l'Express et l'Impartial.