Les abattoirs des Ponts-de-Martel peinent à recruter du personnel qualifié dans un contexte de crise des vocations. Avec le retour des troupeaux en estivage dans quelques semaines et l'arrivée de la chasse dans les restaurants, la charge de travail du site d'abattage va s'accroître considérablement. Le renfort de personnel lui est indispensable. Les bonnes volontés, qualifiées ou non, sont les bienvenues pour travailler à raison d'une douzaine d'heure par semaine. Un appel qui s'adresse aussi aux dames.
L'abattoir des Ponts-de-Martel pourrait durablement régler ses problèmes en personnel si sa production augmentait avec pour corollaire l'embauche possible d'un deuxième salarié à plein temps. Une perspective qui n'est pas à exclure dans la mesure où la fermeture annoncée de l'abattoir du Nord vaudois apporterait de la viande à son moulin. Les responsables de la Société coopérative de l'abattoir des Ponts-de-Martel envisagent aussi à terme de diversifier leurs activités en exécutant des taches de désossage.