«C’est un tournant dans l’histoire du club. La Coupe de Suisse, c’est encore plus grand que la finale de la Coupe neuchâteloise. Beaucoup de clubs importants n’y participent pas ou ont déjà été éliminés. Nous pouvons vivre la plus grande joie ou la plus grande déception de notre saison.»
Entraîneur de la première équipe du FC Fleurier, qui évolue en 2e ligue, Luc Floquet trépigne d’impatience. Dimanche, dès 15h30 aux Sugits, ses hommes défieront les Seelandais de Nidau (2e ligue également) en 32es de finale de la Coupe de Suisse.
Deux ans après sa promotion dans l’élite cantonale, une année après une lourde défaite (5-0) en finale de la Coupe neuchâteloise contre Béroche-Gorgier et deux mois après avoir, cette fois-ci, battu Le Locle (2-0) à la Maladière, les Fleurisans évolueront au niveau national pour la première fois de leur histoire.
Déception puis ambition
La grosse déception du tirage au...