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Des industriels neuchâtelois mobilisés contre le nickel

Se mettre ensemble pour régler un problème industriel, c’est loin d’être évident pour les entreprises de la micromécanique qui cultivent farouchement leur indépendance. Une association veut stimuler leur intelligence collective.

15 juin 2019, 10:00
Façonnage d'une boîte de montre.

La vie des entreprises peut se résumer en deux types de défis: développer des solutions qu’elles sont seules à maîtriser, et gérer des problèmes auxquels elles sont toutes confrontées. C’est dans cette seconde catégorie que milite l’Association pour la recherche communautaire en moyens de production microtechniques (Arc-M).

Forte d’une cinquantaine d’entreprises membres, l’organisation propose de mutualiser des ressources de ses membres, pour s’attaquer à des problèmes de production. Matériaux, solutions numériques, etc. On ne touche pas au «cœur de métier», mais à tout ce qui peut améliorer l’efficacité de l’entreprise.

Des montres qui ne provoquent pas d’allergies

Cette année, Arc-M a décidé de s’intéresser au nickel. Ce métal est communément présent dans les alliages d’acier inoxydable destinés à la bijouterie et l’horlogerie, ou au domaine médical. Problème: un contact prolongé avec la peau peut libérer des sels de nickel, qui peuvent provoquer des allergies cutanées.

C’est la raison pour laquelle...

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