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Le club de judo a écarté le moniteur neuchâtelois coupable d’actes d’ordre sexuel avec son élève

Le moniteur de judo neuchâtelois condamné pour pornographie et actes d’ordre sexuel avec une mineure a finalement été mis à pied par son club. Une forme de réaction aux critiques? Le comité s’explique.

04 mars 2021, 05:30
Selon le comité, l'image du club de judo souffre de cette affaire, bien que le nom n'ait pas été révélé (image d'illustration).

Le moniteur neuchâtelois reconnu coupable, en janvier dernier, de pornographie et d’actes d’ordre sexuel avec son élève mineure, a été éloigné du club de judo dans lequel il enseignait. Le comité a annoncé sa mise à pied pour une durée de deux ans.

A lire aussi: Condamné pour actes d’ordre sexuel sur mineure, le moniteur neuchâtelois peut continuer d’enseigner le judo

Le 23 février, l’un des dirigeants nous avait pourtant déclaré le contraire, affirmant que le comité avait décidé de suivre la justice neuchâteloise. Cette dernière n’a en effet pas prononcé d’interdiction d’exercer une activité en contact avec des mineurs à l’égard du moniteur de judo. Ce revirement de situation interpelle.

«Il semble que ces informations erronées découlent d’une mauvaise compréhension de notre coprésident, qui n’était pas en charge du dossier», explique l’autre coprésident du club. Alors, couac de communication ou réaction aux nombreuses critiques?

Une mesure «cohérente»

Après l’annonce...

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