«C’est fou comme pelouse s’est détériorée». Le président du FC Auvernier, Paulo Rico, assiste les bras ballants à la moisissure de son terrain depuis plus d’un mois. «Au début, c’était juste un petit coin qui était râpé. Mais depuis, ça a pris de l’ampleur. C’est vraiment impressionnant».
C’est vrai qu’à l’œil nu, l’herbe n’est pas aussi verte que ce qu’elle devrait être sur les hauts d’Auve...