C’est sur 19 fauteuils du Conseil général que s’asseyaient, en 2016, les membres du Canette au Landeron. Un record pour ce parti villageois, habitué à placer 12 à 14 des siens au sein des autorités. Dimanche dernier, il a toutefois perdu quatre sièges.
«Au-delà d’une guerre de tranchée, il faut envisager ce résultat comme le fait de revenir à une forme d’équilibre», relève Thierry Linder, qui, avec 555 voix, arrive en tête de la liste du parti. Avant d’ajouter que 15 sièges, «c’est déjà très bien». Ce résultat reste en effet le deuxième meilleur score du Canette en 40 ans d’existence. La percée survenue lors de la précédente législature, qui avait également permis au parti d’installer trois des siens au Conseil communal, Thierry Linder la qualifie «d’exceptionnelle».
Porté par le refus de la fusion
Peut-on attribuer le succès d’alors au fait que les élections aient eu lieu juste six mois...