Dans la nuit de vendredi à samedi dernier, vers 3h, Julie*, une étudiante neuchâteloise installée à Bienne, quitte une fête organisée dans le milieu alternatif. «Puis, je ne me souviens de plus rien, c’est le black-out total!»
Son histoire, largement relayée sur les réseaux sociaux, pose une question: que faire dans ce cas? Nous avons donc rencontré Julie* pour recueillir son témoignage, "qui peut servir".
Où suis-je, quelle heure est-il?
Lorsqu’elle sort de ce «trou noir», elle se retrouve au pied d’un immeuble qu’elle ne connaît pas. «Et j’ai entendu qu’il y avait une fête aux étages supérieurs.»
Ultérieurement, elle se souviendra s’être sentie bizarre après être partie de la soirée biennoise à laquelle elle avait participé. «Par prudence, je me suis assise sur les marches d’escaliers au pied de ce locatif, en me disant que s’il m’arrivait quelque chose, quelqu’un finirait par me voir.» Puis, ce fut le cirage....