«Enfin, c’est fini! J’en peux plus. Quand il descend, je suis toujours à deux doigts de m’évanouir». C’est le cri du cœur de Catherine Tissières, la maman de Robin, qui vient de voir descendre son fils de 17 ans pour la dernière fois de la journée.
C’est vrai que le ski-cross, c’est intense. Plusieurs courses d’une minute à peine, au cours desquelles quatre skieurs luttent pour leur survie à chaque saut et à chaque virage.
Je trouve la piste trop lente. On dépasse à peine les 60 à l’heure. Sur d’autres parcours, on peut aller à 80 voire 90 kilomètres à l’heure. Et je préfère vraiment quand ça va vite.
Robin Tissières, ski-cross
Par chance, Catherine n’était pas seule en ce dimanche olympique. La présence au JOJ de Robin a permis de rassembler sous le soleil et par moins 10 degrés, plus d’une cinquantaine de personnes avec des «Hop...