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La violence, vain dernier recours

Un café scientifique s'est penché sur les atteintes portées à l'enfant.

23 janv. 2012, 00:01
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"Une petite fessée, c'est pas la plus mauvaise manière d'éduquer un enfant" , a déclaré mercredi passé Suzette Sandoz, professeur honoraire de l'Université de Lausanne, en introduction d'un café scientifique, organisé à l'Université de Neuchâtel. Intitulée "L'éducation, source de nos violences?", la rencontre a amené les différents intervenants à s'interroger sur les raisons de la violence à l'égard des enfants et sur les moyens de la combattre, ou du moins de la contenir.

"Aucune violence n'est jamais tolérable" , a répondu en écho André Kuhn, professeur de droit pénal et criminologie à l'Université de Neuchâtel. "Si l'on refuse la violence en tant que parents et qu'une fois on craque, ça donnera peut-être une claque ou une fessée. Mais si la violence est quotidienne et qu'on craque, qu'est-ce que ça donnera?" , s'inquiète le professeur de droit.

Et de souligner que les actes de violence font souvent plus de bien -...

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