Si elle a opté «sans regrets» pour la médiation culturelle, Gaëlle Métrailler aurait aimé devenir journaliste, un métier qui l’attire depuis l’enfance. Mais certainement pas pour écrire ce genre de portrait.
«Ce qui m’agace dans le traitement de l’actualité, c’est de voir qu’on aborde des thématiques à travers des personnes, même si je comprends la nécessité d’incarner les idées. Je lis aussi beaucoup d’articles que je trouve r&eacu...