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Faune sauvage: comment réagir lorsqu’elle s’invite en ville?

Sur les réseaux sociaux, les photos d’animaux sauvages, renards ou chevreuils, dans les jardins ou sur les terrasses de bâtiments en ville, enchantent les Neuchâtelois. Doit-on s’en inquiéter? Et comment se comporter?

17 déc. 2020, 16:00
Rencontre avec un chevreuil dans un jardin.

Un renard qui fait les poubelles de la caserne de Colombier, un lièvre sur une terrasse locloise, des chevreuils qui squattent un cimetière bâlois… Lorsqu’ils sortent de la forêt, les animaux sauvages font le buzz sur les réseaux sociaux. Mais quelle réalité cache ces jolies rencontres? Est-ce le signe d’une augmentation de leur population? D’un manque de nourriture? Peut-on les nourrir comme on nourrit les oiseaux?

Selon Grégory Guichard, garde-faune neuchâtelois, le phénomène n’est pas plus courant qu’auparavant. «Certains animaux sauvages sont assez opportunistes. Ils recherchent la nourriture facile. Qu’un chevreuil s’invite dans un potager ou un renard dans un poulailler a toujours existé. Ce qui est nouveau, c’est que les gens documentent davantage ces rencontres depuis l’apparition des réseaux sociaux. C’est ce qui explique probablement l’augmentation des cas signalés, mais on ne peut pas conclure à une augmentation subite des effectifs de chevreuils et de renards, qui sont plutôt...

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