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Poutine prône la «prudence»

Vladimir Poutine a appelé hier à une grande «prudence» dans la gestion du dossier du nucléaire iranien. Le président russe a rejeté toutes «mesures brutales» et affirmé que Téhéran n'excluait pas d'accepter la proposition du Kremlin d'enrichir l'uranium en Russie.

17 janv. 2006, 12:00

«Dans tous les cas, concernant le problème nucléaire iranien, il faut travailler de manière très prudente, sans mesures erronées», a déclaré le président russe. Il s'exprimait à Moscou à l'issue d'une rencontre avec la chancelière allemande Angela Merkel.

Interrogé sur l'idée d'une intervention militaire en Iran, Vladimir Poutine a souligné qu'il ne se permettrait pas de «déclarations irréfléchies». Alors que deux sénateurs américains n'ont pas exclu l'option militaire contre Téhéran, l'Arabie saoudite a insisté sur la nécessité de «donner sa chance à la diplomatie». Ryad a accusé l'Occident d'être partiellement responsable des ambitions nucléaires iraniennes, pour avoir autorisé Israël à se doter de capacité nucléaire. /atsafp-reuters

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