«C’est sûr, je n’aurais pas laissé faire ça!», a tweeté Donald Trump, à l’adresse de Kim Jong-un, comme pour rassurer le dictateur avec lequel il tente de négocier une improbable percée sur le nucléaire. Le président américain plonge à son tour dans la controverse sur les sulfureuses activités d’espionnage de Kim Jong-nam, le demi-frère défunt du «Leader suprême» nord-coréen. Il aurait été un informateur de la CIA, selon le «Wall Street Journal», avant d’être assassiné à l’aéroport de Kuala Lumpur en 2017. «Je lui dirais que cela n’arriverait pas sous mon patronage», a précisé Trump pour maintenir la relation avec le jeune «Maréchal», fragilisée depuis l’échec de leur sommet à Hanoï, en février.
Le sujet est sensible et trouve ses racines dans les secrets d’alcôves et les rivalités fratricides au sein de la seule dynastie communiste de la planète. Les informations sur les relations entre les services de renseignements...