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Covid-19: «Je m’en suis bien mieux sortie que prévu», souffle une coiffeuse de Marin

Les indépendants nous avaient confié leurs inquiétudes en avril. Parmi eux, Patricia Berger, patronne du salon de coiffure La Coquetterie, à Marin. «Par rapport à d’autres, je ne suis pas à plaindre», confie-t-elle. Son témoignage.

14 nov. 2020, 14:53
Patricia Berger a pu travailler presque normalement dès la fin du semi-confinement, en juin.

Patricia Berger fait partie des gens qui estiment que, «quand quelque chose fonctionne bien, il faut le dire». C’est son cas. Patronne du salon de coiffure La Coquetterie, à Marin, elle a perdu «de nombreux milliers de francs» durant les six semaines de fermeture de son établissement, entre mars et avril de cette année. «Mais par rapport à d’autres petits indépendants, je ne suis pas à plaindre.»

Certes, pour tenir le coup, elle a dû recourir aux prêts proposés alors par la Confédération et l’Etat de Neuchâtel. Elle a emprunté 11 000 francs. «Je vais rembourser ce montant petit à petit durant les prochaines années.» Certes, elle n’a «pas touché grand-chose» au titre de la RHT (réduction de l’horaire de travail) pour payer le salaire de son apprentie.

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