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Dix ans de l’Unesco: La Chaux-de-Fonds mise sous cloche?

Gérant d’un parc de 80 immeubles à La Chaux-de-Fonds, Dominique de Reynier estime que le label Unesco lui fait perdre de l’énergie. Il attend aussi un peu plus de reconnaissance de la part des autorités.

27 juin 2019, 18:00
Le bâtiment de Parc 1 en ce chaud mois de juin.

La Chaux-de-Fonds a-t-elle été comme mise sous cloche par la labellisation Unesco? Gérant d’un parc de 80 immeubles en ville, «dont 80% sont situés dans le périmètre Unesco», Dominique de Reynier n’est pas loin de le penser tout haut, lui, l’un des propriétaires de bâtiments emblématiques, comme Parc 1 et «la maison de l’Aigle». Ou encore l’ancienne quincaillerie Kaufmann, dont la «déconstruction partielle» a fait tant de bruit ce printemps.

Ce patron actif depuis près de 20 ans dans la Métropole horlogère est bien placé pour savoir si la labellisation a compliqué ou non les choses. Et il répond clairement oui. Tout en se demandant, si d’un autre côté, «cet Unesco, pour lequel on n’a pas voté, a au moins développé le tourisme».

A lire aussi : «La Chaux-de-Fonds: les propriétaires de l’ancienne quincaillerie ont dû ‘déconstruire dans l’urgence’»

Dominique de Reynier n’est peut-être pas architecte, encore moins du patrimoine,...

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