La Fête des vendanges attire chaque année près de 300'000 visiteurs à Neuchâtel. Les festivités se prolongent jusque tard dans la nuit de dimanche à lundi, au point que certains inconditionnels ont l’habitude de ne pas aller bosser au lendemain des réjouissances. Comment les entreprises de la région gèrent-elles cet «absentéisme» du lundi? Le phénomène est-il similaire lors de la Braderie chaux-de-fonnière, début septembre?
«Soyons honnête: le lundi après la fête, j’ai toujours l’impression de sentir la vieille gnôle, et même après mes quinze brossages de dents, j’ai encore de la pâte au fond de la bouche. Donc je préfère ne pas aller montrer cette déchéance sur mon lieu de travail, boulot que je ne serais de toute façon pas capable d’assumer!»
Cette inconditionnelle de la Fête des vendanges, éducatrice dans une institution spécialisée du canton, fait partie des nombreux Neuchâtelois qui prennent congé au lendemain des jouissances afin de...