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«Une chance unique au monde»

Joël Mesot, président de l’Ecole polytechnique fédérale de Zurich, veut développer les coopérations, notamment avec l’EPFL.

18 déc. 2019, 00:01
Joel Mesot, neuer Praesident ETH Zuerich, spricht waehrend einer Medienkonferenz, am Mittwoch, 24. Oktober 2018 in Bern. (KEYSTONE/Peter Klaunzer) SCHWEIZ MK BUNDESRAT

Joël Mesot préside l’Ecole polytechnique fédérale de Zurich depuis une année. Une année tumultueuse: après avoir, en mars, décidé de révoquer une professeure, une première dans l’histoire de la Haute Ecole, le Genevois d’origine fribourgeoise a présenté des réformes pour, notamment, instaurer une «culture de l’erreur» et pour former les professeurs à l’accompagnement des doctorants. Un autre cas d’abus de pouvoir, détecté en 2018, a du reste fait l’objet d’une enquête administrative dont les conclusions ont été présentées hier.

Votre première année à la présidence de l’ETH – vous insistez sur l’appellation alémanique de la Haute Ecole – s’achève. Le calme est-il revenu?

Le départ a en effet été compliqué. Mais nous avons analysé la situation et pris des mesures. Nous voulons ancrer une culture de l’erreur parmi nos 10 000 employés. Il est normal de faire des erreurs, mais il faut ensuite en parler, les expliquer, les corriger...

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