Quatre démissions au Conseil fédéral en cours de législature, c'est trop pour le fonctionnement du gouvernement et la dynamique au sein du collège, estime Micheline Calmy-Rey. «En se faisant élire, on accepte de s'engager». Des départs anticipés devraient survenir seulement lors d'événements extraordinaires et non prévisibles, déclare Micheline Calmy-Rey dans une interview au journal dominical alémanique «SonntagsZeitung». /ats