Si l'initiative "Financer l'avortement est une affaire privée" était acceptée le 9 février prochain, les interruptions de grossesse ne seraient plus prises en charge par l'assurance maladie de base. Les milieux chrétiens conservateurs la présentent comme un moyen de réaliser des économies, et de garantir leur liberté de conscience.
Les opposants y voient une attaque en sous-main contre l'avortement, l'aspect financier n'étant qu'un prétexte pour aborder le sujet.
Liliane Maury Pasquier, conseillère aux Etats (PS, GE), et Valérie Kasteler-Budde, coprésidente du comité d'initiative et coprésid...