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Pour la libre-circulation des cerveaux

La Haute Ecole spécialisée de Suisse occidentale (HES- SO) s’inquiète de l’impact du 9 février sur le monde de la recherche et lance ses premiers cours en ligne ou MOOC.

10 févr. 2016, 05:47
In this photo taken Wednesday, June 18, 2014, Annie Ly, 16, works on completing an exercise during a Girls Who Code class at Adobe Systems in San Jose, Calif. Girls Who Code, a national non-profit organization that aims to inspire, educate and equip young women for futures in the computing-related fields, kicked off its summer program in partnership with the world’s leading tech companies. Fewer than one percent of high school girls think of computer science as part of their future, even though it’s one of the fastest growing fields in the U.S. today with a projected 4.2 million jobs by 2020, according to the Bureau of Labor Statistics. (AP Photo/Eric Risberg) Geek Girls

La date n’a peut-être pas été choisie par hasard…

En présentant hier, 9 février, les multiples aspects d’un bilan de deux ans d’innovation pédagogique, le rectorat de la Haute Ecole spécialisée de Suisse occidentale (EHS-SO) a voulu, tout en se défendant de véhiculer un message politique, signifier que l’initiative du 9 février 2014 contre l’immigration de masse se révèle aussi un frein à la libre circulation des cerveaux. «Son impact a été marqué sur la mobilité des étudiantes et étudiants», s’alarmait la rectrice Luciana Vacaro.

Après un petit «âge d’or», compris entre 2010 et 2014, durant lequel la Suisse participait pleinement aux programmes Erasmus, elle est redevenue un partenaire indirect. «Notre situation s’est prétéritée et nous demeurons inquiets pour 2017», poursuivait-elle.

Diplomatie académique

Des partenariats ont pu être maintenus avec d’autres établissements et universités au prix d’un important travail de «diplomatie académique». Cependant les...

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