Le postulat approuvé par le Conseil des Etats en mars 2015 laissait peu d’espace à l’incertitude: «Le Conseil fédéral est chargé d’examiner des solutions susceptibles de (…) mettre un terme à l’importation et à la vente de produits de la pelleterie provenant d’animaux ayant subi de mauvais traitements.» En clair, le gouvernement devait se pencher sur l’interdiction de la commercialisation des vêtements, et autres articles, à base de fourrures animales.
Or, deux ans et demi plus tard, le statu quo prédomine. Aucune nouvelle piste législative n’a été présentée. Et les défenseurs de la c...