Le bonheur des uns fait le malheur des autres, dit le dicton. En cas d’acceptation par le peuple de l’initiative dite «vache à lait», le supplément de 1,5 milliard touché par l’infrastructure routière devrait être puisé dans d’autres domaines. L’Administration fédérale des finances a établi quelques scenarii, évidemment hypothétiques.
Pour compenser ce que le bitume recevrait, les économies les plus substantielles porteraient «sur les paiements directs à l’agriculture, la contribution aux Ecoles polytechniques fédérales, le personnel de la défense, les institutions chargées d’encourag...