Les cantons sont toujours désireux de transférer 400 kilomètres de routes à la Confédération, mais ils refusent le mode de financement proposé par Berne, lié à une baisse des subventions. Interrogé hier par la Radio suisse romande, le conseiller d'Etat valaisan Jean-Jacques Rey-Bellet a jugé «injuste» le marché proposé par la Confédération, estimant que cette dernière voulait «faire des économies sur le dos des cantons». /ats
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