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La trace de tous les superlatifs

19 avr. 2016, 01:23
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La montée de Zermatt vers Tête Blanche a quelque chose de mystique. Première et principale difficulté de l’épreuve, elle peut amener les participants du paradis à l’enfer en quelques heures. La réalité de la montagne peut, ici plus qu’ailleurs, se rappeler à tous. On peut courir avec des températures presque agréables à 22 heures, sous les encouragements du public le long des restaurants et des boutiques de luxe de Zermatt et faire face, au beau milieu de la nuit, 2000 mètres plus haut, à des bourrasques et à un froid glacial. Marius Robyr est catégorique, c’est cette ambiance qui rend ce pass...