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La nouvelle recette des patrons, c'est de se planter pour réussir

Réunis à Neuchâtel, des invités de marque imaginent des pistes pour que la Suisse reste en pole position . Avec humour parfois.

18 mars 2014, 00:01
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" On doit encourager les enfants à donner des réponses fausses ": l'intervention de Daniel Kraus, professeur à l'Université de Neuchâtel, a donné le ton. Le droit à l'erreur, ou même l'erreur obligatoire, a été l'un points centraux évoqués hier à l'occasion de la Journée de l'innovation, qui a accueilli à Microcity quelque 200 acteurs des milieux scientifique et économique et une brochette de personnalités comme Neuchâtel en avait rarement réuni.

Voyez plutôt: un conseiller fédéral, Johann Schneider-Ammann; un secrétaire d'Etat (celui à l'innovation, justement), Mauro Dell'Ambrogio; deux capitaines d'industrie, Peter Brabeck et Jean-Claude Biver, présidents de Nestlé et de Hublot; sans oublier le président de l'EPFL Patrick Aebischer. Ce petit monde avait à débattre d'une question centrale après le vote du 9 février: comment la Suisse peut-elle rester numéro un de l'innovation?

Coorganisée par l'Université de Neuchâtel, la journée a tenu ses promesses. La langue de bois a été...

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