L'otage suisse enlevé le 22 janvier et aux mains d'al-Qaïda au Maghreb islamique est «souffrant», a indiqué hier un élu du nord du Mali impliqué dans les négociations pour obtenir sa libération. Il ne s'alimente «presque plus». «Nous sommes inquiets», a déclaré cet élu sous couvert de l'anonymat. /ats-afp