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Exception suisse pas problématique

Selon l’avocate générale, la plainte tchèque devrait être rejetée par l’Union européenne.

12 avr. 2019, 00:01
/ Màj. le 12 avr. 2019 à 08:25
THEMENBILD --- Ein Rekrut betrachtet sein Stgw 90 anlaesslich der Rekrutenschule Panzer RS 21-2 am 29. September 2004 auf dem Waffenplatz Thun. Der umstrittene Wachdienst der Armee mit durchgeladener Waffe duerfte erneut in die Kritik geraten: Diesen Sommer loeste sich in einem WK in der Romandie zweimal versehentlich ein Schuss. Ein Soldat wurde leicht verletzt. Zu einem ersten Zwischenfall sei es am 26. Juni bei der Infanterie-Verbandsausbildung 3 der Kompanie 1 auf dem Waffenplatz Bure JU gekommen, bestaetigte Silvia Schenker, Sprecherin der Militaerjustiz, einen Bericht der Pendlerzeitung ÑNewsì vom Dienstag, 15. Juli 2008. (KEYSTONE/Martin Ruetschi) SCHWEIZ ARMEE WACHTDIENST WAFFE

L’exception obtenue par la Suisse concernant les armes d’ordonnance ne devrait pas poser problème. La Cour de justice de l’Union européenne, sise à Luxembourg, doit encore se prononcer. Chargée de préparer le dossier, l’avocate générale Eleanor Sharpston ne voit pas de problème, a indiqué, hier, la Cour.

Celle-ci doit se prononcer sur une plainte de la République tchèque contre la directive européenne sur les armes. Parmi les critiques formulées par Prague figure l’exception obtenue par la Suisse pour appliquer la directive.

Exception jugée «proportionnée»

Bien que l’arme d’ordonnance appartienne aux armes semi-automatiques interdites, les ex-militaires suisses continueront de pouvoir la conserver après la fin de leur service. Selon Eleanor Sharpston, cette exception est proportionnée. L’avocate générale rejette les autres critiques tchèques et recommande de rejeter la plainte.

La Suisse votera le 19 mai sur la reprise de la directive européenne via une révision de la loi sur les armes.

ATS

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