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Didier Burkhalter ne se sent pas responsable

10 nov. 2011, 00:01
Deux mille emplois supprimés, dont 1100 en Suisse, entre les sites de Prangins (VD) et Bâle, et ce malgré un bénéfice de 3,53milliards de dollars au troisième trimestre 2011: le plan d'austérité annoncé par Novartis le 25octobre dernier continue de faire des vagues. Conseiller fédéral en charge de la santé, mais aussi de la science, Didier Burkhalter prend pour la première fois position. Novartis justifie les suppressions d'emplois notamment par la pression exercée par les Etats sur le prix de ses médicaments. Comme ministre de la Santé, que lui répondez-vous? Je ne commente pas les décisions stratégiques d'entreprises privées. Ce qui est important, c'est que l'on maintienne de bonnes conditions-cadres pour la recherche en Suisse. Et je constate que la place de Bâle pour la recherche dans le domaine des médicaments n'est pas remise en cause par Novartis. Bâle est encore et toujours considérée comme une place de très haut...
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