Le jour se lève sur la gare de Brigue, sur une file de voitures, dont les passagers attendent de pouvoir traverser le Simplon en amenant leur voiture sur le «train-autos». Un automobiliste confirme que le ferroutage est «bien plus rapide que le col».
Un conducteur impatient klaxonne: les voitures s’avancent sur les wagons. Durant un quart d’heure, des cahots dignes d’un vol bien turbulent secouent le convoi. Tout est plongé dans le noir, seules deux frises lumineuses éclairent le bas du tunnel. Les claustrophobes doivent attendre avec impatience l’arrivée à Iselle di Trasquera.
La scène se dérou...