Vingt-cinq bolides du fils du président de Guinée Équatoriale étaient aux enchères, hier, à Chéserex (VD). Ces voitures ont en commun d’avoir été confisquées par la justice genevoise après l’ouverture, en 2016, d’une procédure pénale à l’encontre de Teodorin Obiang, et de deux autres personnes, pour «blanchiment d’argent et gestion déloyale des intérêts publics». La procédure a été classée en février.
La justice genevoise et les autorités équato-guinéennes se sont, en effet, mises d’accord pour que les voitures soient vendues et que le produit de la vente soit affecté à un programme à caractère...