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Aînés au volant, apprentis à Zurich, grippe et travail, que dit-on outre-Sarine?

Nous passons en revue la presse alémanique: quels sont les sujets qui font causer là-bas? Cette semaine, une statistique sur les apprentis dans le canton de Zurich, la circulation et les seniors et l'attitude des employeurs face à la grippe font partie de notre sélection.

01 mars 2018, 14:00
Les conditions de circulation deviennent de plus plus difficiles avec l'âge, constate la police lucernoise.

Dans le "Tages Anzeiger"

Un élève zurichois sur cinq interrompt son apprentissage

Chaque année, plus de 12 000 jeunes concluent un contrat d’apprentissage dans le canton de Zurich. Un cinquième d’entre eux va tôt ou tard interrompre son cursus, montre une étude de la formation professionnelle. Le taux reste toutefois de 2 à 4% inférieur à la moyenne nationale. Les hommes cessent leur apprentissage plus fréquemment que les femmes. Il en va de même pour les étrangers par rapport aux Suisses. 55% des interruptions de contrat surviennent en première année. La plupart des apprentis la justifient par des raisons personnelles ou un changement d’orientation. Ainsi, 42% des jeunes qui ont abandonné ont commencé une nouvelle formation professionnelle.

Dans la "Luzerner Zeitung"

Avec l’âge, les dangers de la route se modifient

Le chef de la prévention de la police lucernoise fait le point sur les dangers qui guettent les seniors. Dans les dix dernières années, les accidents de circulation impliquant des aînés ont progressé de 20%, dont plus de 100% avec un vélo électrique. Une hausse à mettre d’abord sur le compte de l’augmentation de l’utilisation de ces véhicules. La police souhaite aussi agir contre les clichés en matière de conduite automobile. Pour les seniors, la mobilité est une question de qualité de vie. Pour les autres usagers, ils sont perçus comme des obstacles ou des dangers. «Nous aimerions contribuer à l’objectivité de la discussion», explique le chef de la prévention. «La conduite a beaucoup à faire avec la responsabilité individuelle.»   

Sur "Watson"

Les entreprises veulent réduire les absences dues à la grippe

Cette année, l’épidémie de grippe est particulièrement longue et violente. Selon des estimations, elle coûte entre 100 et 300 millions de francs par année. C’est pourquoi, beaucoup d’employeurs veulent serrer la vis. Par exemple, une personne malade ne touche pas de salaire pendant ses trois premiers jours d’absence. C’est légal. Par exemple, EMS Chemie ne paie pas entièrement ces trois jours aux employés qui y travaillent depuis moins de trois ans. D’autres entreprises récompensent les collaborateurs en bonne santé. Une société argovienne offre de 300 à 500 francs à chaque employé qui n’a pas été absent pendant une année. Il y a encore celles qui emploient des inspecteurs pour vérifier les cas de maladie.

Dans le "Bund"

La Ville de Berne veut plus construire elle-même

A Berne, la tendance est à l’augmentation des loyers et les appartements bon marché disparaissent. La Ville veut empêcher que le phénomène ne profite qu’aux classes supérieures. Pour cela, elle a plusieurs possibilités. Elle peut elle-même réaliser des projets de construction. Ce qui ne sera fait, avant tout, quand une habitation à loyer modéré doit naître. Elle peut aussi imposer des conditions aux maîtres d’ouvrage lors de concours. Ou mettre à disposition du terrain à des coopératives à but non lucratif. Celles-ci restent des partenaires importants. Que la Ville veuille davantage construire elle-même ne signifie pas que les autres instruments à sa disposition seront moins importants à l’avenir, affirment les autorités.

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