Il est apparu samedi tout sourire et «se sentant superbien»: Ullrich a indiqué qu?il n?avait rien à dire sur ces sept anciens Telekom, dont Erik Zabel et Bjarne Riis, passés aux aveux. Son agent a confirmé: «Nous n?avons rien à dire.» Les confessions détaillées de Riis, Zabel ou Aldag sur leur consommation d?EPO et autres hormones de croissance dans les années 1990, ne changent rien pour Jan Ullrich. Depuis le début de sa carrière, il a toujours nié avoir eu recours au dopage.
Et l?ancien soigneur Jef d?Hont, qui a affirmé lui «avoir injecté de l?EPO dans le bras», ne devrait rien y changer. Son seul contrôle positif (amphétamines) en juin 2002, il l?avait mis sur le compte de deux cachets d?ecstasy pris un soir de sortie en boîte.
Depuis qu?il a mis un terme à sa carrière fin février, Jan Ullrich sort rarement de son silence: quand il le fait, c?est sur son site internet comme le 3 avril où il assurait «n?avoir rien à se reprocher». / si