Le rugby se pratique sur une surface rectangulaire et engazonnée. Si le Stade de France n'est pas (encore?) mythique pour les rugbymen français, quelques aires de jeu font déjà partie de la légende de ce sport. Ainsi, les Anglais vouent un culte à Twickenham, les Ecossais à Murrayfield, les Néo-Zélandais à Eden Park et les Sud-Africains à Ellis Park. Pour ne citer qu'eux.
Un match de rugby est composé de deux mi-temps de 40 minutes chacunes, séparées d'une pause de dix minutes. Au rugby, on ne parle pas de temps additionnel, mais de temps perdu. Ainsi, les éventuels blessures, changements d'équipement ou autres remplacements sont «compensés» par l'arbitre. Le jeu ne peut prendre fin que lorsqu'il y a un arrêt du jeu. Si l'une des équipes doit encore botter un coup de pied de pénalité, l'arbitre sifflera la fin du match après la tentative.
Elle se divise en deux parties: le champ de jeu (situé entre les lignes de but et les lignes de touche) et les en-buts (situés derrière les lignes de but). Le champ de jeu ne doit pas dépasser les 100 mètres en longueur et 70 mètres en largeur. La profondeur des en-buts doit être comprise entre 10 et 22 mètres.
Les lignes de touche de but et les lignes de fond d'en but, aussi appelées lignes de ballons morts, ne font pas partie de l'aire de jeu.
Placés sur les lignes de but, ils sont séparés par 5,6 mètres. Quant à la barre transversale, son sommet doit être situé à 3 mètres du sol.
Ils se situent à l'intersection des lignes de but et des lignes de touches. Ils ne font toutefois pas partie du terrain. Comprenez que si un joueur percute l'un de ces poteaux avant d'aplatir le ballon dans l'en-but, l'essai ne sera pas validé. / EPE