Les skieuses Marianne Fatton et Déborah Marti, la triathlète Loanne Duvoisin et la footballeuse Ilona Guede Redondo ont un point commun: elles sont toutes les quatre sportives d’élite.
En tant qu’athlètes féminines, elles font face à des spécificités que ne connaissent pas leurs homologues masculins. Et ces caractéristiques ne sont que rarement prises en compte lors de leur pratique.
«On ne parle pas assez du corps de la femme et de son système hormonal dans le sport d’élite», observent la Vaudruzienne Marianne Fatton et la Valaisanne Déborah Marti, qui sont amies.
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«Ne pas prendre en considération le corps de la femme, son cycle menstruel et sa contraception dans la planification de son entraînement est pour moi une forme de sexisme»,...