«Cela fait partie du jeu. Des fois la chance est avec toi, des fois pas. Il faut l’accepter.» Alors que Viktoria Rebensburg, partie trois dossards avant elle, venait d’entériner la victoire finale de la Tessinoise en Coupe du monde en manquant une porte, Lara Gut, fidèle à elle-même, pestait contre les conditions changeantes de cette ultime descente de la saison et contre cette neige qui avait collé à ses spatules plutôt que de se réjouir de ce grand globe de cristal qu’elle est désormais certaine de recevoir dimanche, ici à Saint-Moritz. «Partie juste après moi, Elena Fanchini, qui est connue...
Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés
Vingt-quatre ans, c’est le bel âge
Lara Gut dans la parfaite lignée des lauréates de ces quinze dernières années.
Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Votre publicité ici avec IMPACT_medias