Rendez-vous était fixé il y a dix jours à La Vue-des-Alpes. Baigné par l’été indien, le décor est majestueux. C’est là que Stéphane Cattin, l’enfant du pays, s’est plié au jeu de l’interview. Nommé chef alpin après la démission de l’Autrichien Rudi Huber, le Jurassien n’a éludé aucune question.
Stéphane Cattin, concrètement, en quoi consiste votre tâche de chef du ski alpin?
Elle est principalement liée à du travail administratif que j’effectuerai en principe depuis le siège de Swiss-Ski, à Muri. J’ai la responsabilité de prévoir la stratégie du futur pour le ski alpin de compétition. Cette miss...