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L'arrivée du breaking aux Jeux olympiques réjouit le Neuchâtelois Artur Libanio

Le breaking effectuera son entrée lors des joutes olympiques à Paris en 2024. Cette décision du CIO réjouit en globalité ses artistes, le Neuchâtelois Artur Libanio en tête. Mais il prévient: la danse veut rester fidèle à ses racines et sa culture.

05 janv. 2021, 05:30
Artur Libanio (à gauche) n'a pas besoin de médailles olympiques. Les sourires sur le visage de ses élèves Maxime (à droite) et Mateo, tous deux âgés de 14 ans, lui suffisent amplement.

C’était devenu un secret de polichinelle. Début décembre, le Comité international olympique (CIO) a mis fin au «suspense» en officialisant l’intégration du breaking, couramment connu sous le nom de breakdance, aux sports olympiques. Contrairement aux trois autres nouvelles disciplines – le surf, l’escalade et le skateboard – qui seront déjà présentes à Tokyo en 2021, la danse devra patienter jusqu’à l’édition olympique suivante à Paris, en 2024.

Les principaux acteurs du milieu du «break» ne cachent pas leur satisfaction et leur excitation. «C’est génial!», s’exclame le Neuchâtelois Artur Libanio, multiple champion de la discipline, notamment avec le groupe Deep Trip et cofondateur de la Groove Academy, une école de breaking à Neuchâtel. «Cette opportunité nous ouvre des horizons jamais explorés. Mais nous ne devrons surtout pas oublier qui nous sommes.»

Rester fidèles à ses racines et à sa culture

Des quartiers du Bronx à la place de la Concorde à...

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