Une conférence de presse détendue, à l’image du sélectionneur de l’équipe de Suisse. Le décor: l’Amag Lounge, vaste havre de «VIPitude» ornant les hauteurs de la Tissot Arena, hier en fin d’après-midi.
Patrick Fischer, question à cent sous: que s’est-il passé le 15 octobre à cet endroit? Le blond coach national se gratte le menton. «Ah oui! Bienne avait battu Lugano. Juste?»
Non. Pas de match ce jour-là. Le succès contre les Tessinois, c’était la semaine suivante, au lendemain de son licenciement du poste d’entraîneur des «Bianconeri». «Alors, je ne sais pas...», répond Fischer, intri...